Pendant un mois, ces volontaires vont donc utiliser d’autres modes de transport. A la fin du mois, une soirée de clôture leur permettra de faire le bilan et de peut-être continuer dans cette voie.
Ils pourront utiliser les transports en commun, du réseau Idelis comme des cars régionaux, le vélo en libre-service, le vélo à assistance électrique prêté le temps du défi, la marche et autres modes de déplacements alternatifs à la voiture.
En contact permanent avec l’animatrice mobilité pour les guider, ils peuvent se déplacer librement avec l’ensemble des solutions mises à leur disposition.
La mobilité est un sujet complexe qui nécessite des apprentissages. Le temps de la découverte doit être accepté : organisation familiale, connaissance des horaires, modalités de paiement, sites d’information, mise en situation, achat d’’équipements.
« Faute de temps ou d’envie, chacun de nous est tenté de reporter au lendemain cette période transitoire qui nécessite de modifier parfois notre schéma de penser ou de raisonner. Cependant, une fois essayé, se déplacer à vélo ou en bus est souvent un geste adopté pour la liberté et la sérénité que cela apporte » souligne le Syndicat des mobilités..
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