Pour cela, ils devront suivre une formation « post permis » de 7 heures entre les 6e et 12e mois suivant l’obtention du carton rose.
Cette facilité est valable pour les permis de conduire A1, A2, B1 ou B. Elle repose sur une démarche volontaire et les autorités veulent mettre en place une formation « collective afin de permettre un maximum d’échanges sur les expériences de conduite entre les conducteurs d’une même génération ».
A l’issue de cette journée, la période probatoire sera réduite de 3 ans à 2 ans pour le permis classique, et de 2 ans à 1,5 an pour les titulaires d’un permis en conduite accompagnée. Cette mesure est conditionnée au fait de n’avoir commis aucune infraction donnant lieu à retrait de points.
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Entré en vigueur en 2003, le permis de conduire probatoire attribue 6 points aux conducteurs novices, puis 2 points supplémentaires chaque année pendant les 3 ans qui suivent (3 points par an en cas de conduite accompagnée).
La Sécurité routière veut ainsi lutter contre le « phénomène bien connu de sur-confiance, qui est la cause d’une mauvaise appréciation des risques et donc d’une accidentalité particulièrement élevée ». Ceci pendant les premiers mois.
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Les autorités espèrent « susciter chez les conducteurs novices un processus de réflexion sur leurs comportements au volant et leur perception des risques au moment où ils acquièrent davantage d’assurance ».