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Conduire en sécurité la nuit

Le risque d’avoir un accident mortel à la tombée du jour est 7 fois supérieur au risque diurne. Alors, soyez extrêmement prudents…

 

Il faut aussi savoir qu’un quart des accidents mortels de nuit se produit entre 2 et 6 heures du matin.

 


La fatigue, la somnolence et l’alcool, associés à une vitesse plus importante du fait de la fluidité du trafic, sont souvent à l’origine de ces accidents.

Lorsque vous prenez le volant dans la nuit, vous devez aussitôt allumer vos feux. C’est évident. Mais malheureusement, ce n’est pas toujours le cas, notamment en ville. Il n’est pas rare de croiser des véhicules tous feux éteints : le conducteur pouvant voir la route grâce à l’éclairage public ne se rend pas forcément compte qu’il roule sans ses feux. Le danger est alors réel, car les autres usagers de la route peuvent ne pas l’apercevoir.

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Les feux de croisement éclairent à 30 mètres minimum. Vous devez les utiliser si vous roulez sur une route éclairée ou que vous suivez ou croisez un autre usager sur une route non-éclairée, afin de ne pas l’éblouir.

Si vous-même êtes éblouis par un conducteur qui arrive en face de vous, regardez le bord droit de la route afin d’éviter les coups de volant et, lorsque le véhicule est passé, vous pourrez replacer votre regard au centre de la voie.

Les feux de route, ou plein phares, éclairent sur 100 mètres minimum. Vous devez les utiliser lorsque vous roulez sur une route qui n’est pas éclairée et que vous êtes le seul véhicule sur les voies.

La nuit, les risques d’accident sont multipliés. Dans votre véhicule, vos perceptions visuelles sont atténuées, ainsi que le champ visuel et le sens du relief. Redoublez de prudence et adaptez votre conduite.

Réduisez votre vitesse, ce qui vous permettra de mieux anticiper une situation inhabituelle, ou potentiellement dangereuse.

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Il est aussi très important d’apprendre à reconnaître les signes de fatigue et de somnolence. Si vous montrez des signes de fatigue, tels que des picotements dans les yeux, des raideurs de la nuque ou du dos, ou que vos paupières sont lourdes, différez votre départ. Si vous êtes déjà sur la route, prenez une pause d’au moins 20 minutes.

N’oubliez pas que, la nuit, une pause toutes les deux heures est indispensable afin d’éviter la perte de vigilance ou la somnolence.

Bien entendu, si vous avez consommé de l’alcool, faites le test. Si vous êtes positif, attendez et différez votre départ. L’alcool augmente très sensiblement les risques.

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