Cette mesure ne concerne donc que les véhicules neufs ; les voitures à essence et diesel déjà en circulation pourront continuer leur carrière sur les routes.
Si l’Europe prend les devants par rapport aux Etats-Unis et à la Chine, elle est toutefois devancée par d’autres nations comme Israël qui s’est fixé comme échéance 2030.
Si la vente des véhicules hybrides et électriques est en nette progression, elle reste encore largement minoritaire. Le frein du coût élevé à l’achat pourrait évoluer rapidement avec cette décision européenne, même si les modèles conçus actuellement devraient rester très chers. D’où la volonté de certains constructeurs de s’orienter vers des modèles plus populaires et plus accessibles.
Sur le plan écologique, le point faible de la voiture électrique est la fabrication des batteries, avec des composants qui posent parfois de sérieux problèmes, au niveau de leur production ou au niveau des matières premières.
A suivre…