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Le siège dans l’hyper technologie

Dans le contexte très concurrentiel de l’industrie automobile, l’intérieur des véhicules a pris une place de choix dans le processus d’achat des clients…

 

Ainsi Peugeot, avec la généralisation du i-Cockpit, a révolutionné l’intérieur des véhicules et a apporté un soin tout particulier sur les sièges qui deviennent désormais de plus en plus complexes et technologiques.

 


Ils sont soumis à des contraintes quotidiennes diverses et très fortes, raison pour laquelle les sièges doivent répondre à plusieurs attentes : transmettre une image visuelle distinctive et personnalisable, véhiculer un sentiment de sécurité et de confort des occupants différent en fonction de la zone géographique de commercialisation.

En 60 ans, les sièges ont franchi des étapes technologiques importantes. En 1955, les premiers réglages de sièges (inclinaison dossier-hauteur d’assise, etc) apparaissent sur les voitures de grande série. La fonctionnalité d’accès aux places arrières est, quant à elle lancée sur les utilitaires dès 1957. D’autres innovations sont plus récentes, comme le fractionnement des banquettes ou l’ajout d’une troisième rangée de sièges escamotables.

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Dès 2007, Peugeot a développé une armature transversale de sièges avant, apportant un gain de poids tout en améliorant la sécurité et le confort ; les sièges deviennent ainsi plus légers, plus techniques et moins chers.

Les sièges doivent pouvoir répondre à des contraintes quotidiennes très fortes et diverses : résistance (morphologie et poids très différents selon l’utilisateur) ; usure (un siège va porter des milliers de fois un ou des utilisateurs pendant plusieurs années voire des dizaines d’années) ; température (à l’intérieur d’un véhicule, il peut faire très froid ou très chaud).

Dans le monde, la notion de confort varie selon les zones géographiques. En Europe, la demande est axée sur le confort du premier rang, les clients souhaitent une précision dans la posture, un soutien latéral et un soutien après de longs trajets. Concernant le second rang, la notion de pliabilité est plébiscitée.

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Du point de vue du client, les sièges automobiles doivent remplir trois fonctions prioritaires et essentielles : « placer, plaire et protéger ». Faisant corps avec l’occupant, ils contribuent ainsi fortement au typage du véhicule, propre à chaque marque.

Les sièges du futur vont être influencés de plus en plus par la mode vestimentaire. Les couleurs et matières utilisées pour l’habillage des sièges s’inspireront des grandes tendances du prêt à porter et de l’ameublement.

Le bien-être fait également partie intégrante des préoccupations des concepteurs. L’intégration de sacs pneumatiques dans la mousse pour adapter les sièges automobiles à la morphologie des occupants fait partie des innovations récentes. Peugeot propose, en option, sur de nombreux véhicules de la gamme un système de massage du dos particulièrement apprécié par les clients car il favorise la relaxation des occupants tout en activant les muscles du dos.

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A l’heure de la voiture autonome, les sièges seront plus que jamais au cœur de l’aménagement de l’intérieur du véhicule. Ils devront offrir de multiples possibilités de transformation de l’habitacle comme proposé dans le concept car e-Legend, l’objectif est de transformer le temps passé dans la voiture en un moment de convivialité et de détente.

A cet horizon, le composite aura partiellement remplacé l’armature métallique des sièges pour offrir plus de finesse et ainsi dégager de l’espace dans l’habitacle.

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