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Le smartphone au volant sous haute surveillance

Désormais, certaines infractions commises en utilisant son appareil au volant pourront entraîner un retrait immédiat du permis de conduire…

 

C’est l’une des mesures prévues par le conseil interministériel de la Sécurité routière en janvier 2018, qui vient d’entrer en vigueur.

 


Il faut savoir que près de la moitié des automobilistes utilise son smartphone tout en conduisant. Chaque année, malgré la prévention et les mesures gouvernementales, ce taux ne cesse d’augmenter : plus 10 points depuis 2016.

Or, selon la Sécurité routière, le téléphone au volant est responsable d’un accident corporel sur 10 et multiplie les risques d’accident par trois.

D’où cette décision de durcir les sanctions. Particulièrement, lorsque le conducteur utilisera son smartphone et qu’il commettra une infraction importante : un défaut de clignotant, un franchissement d’une ligne continue, un excès de vitesse, un dépassement dangereux ou encore un refus de priorité aux piétons.

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Dans ces cas-là, l’automobiliste se verra retirer sur le champ son permis de conduire. Au-delà des 72 heures de rétention, le préfet pourra prononcer une suspension de permis pouvant aller jusqu’à six mois et même un an en cas d’accident, de conduite en état d’alcoolémie ou après usage de stupéfiants.

Parmi les autres mesures : l’obligation d’utiliser un système d’éthylotest anti-démarrage est passée de 6 mois à un an. Cela concerne les peines alternatives proposées par la Parquet à la suite d’une suspension de permis de conduire.

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