C’est parti ! Les pompes françaises et européennes sons sensées afficher selon les mêmes codes les catégories d’essence et de diesel. L’objectif est d’harmoniser l’affichage dans tous les pays. Mais, le temps de s’y habituer, il va falloir éviter de se tromper.
Désormais, l’essence doit être identifiée par un cercle, avec à l’intérieur la lettre « E » complétée par un chiffre permettant de savoir la teneur en biocarburant : E5, pour le super sans-plomb 95 ou 98 ; E10, pour le super SP95 ; E85 pout le superéthanol.
De son côté, le gazole est distingué par un carré, portant la lettre « B », elle aussi complétée par la teneur en biocarburant : B7, pour le diesel le plus courant ; B10 ou XTL, pour le diesel synthétique.
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Enfin, les combustibles gazeux sont visualisés par une forme de diamant avec une inscription à l’intérieur : LNG pour le GNL ; H2, pour l’hydrogène.
Normalement, les nouvelles étiquettes viendront en complément des affichages actuels sur les pompes. De plus, le goulot de remplissage d’un réservoir à essence est, en général, plus petit que l’embout d’un pistolet diesel.
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Attention, si par erreur vous mettez de l’essence dans un véhicule diesel, cela a pour effet de détruire l’effet lubrifiant du gazole. Il faut alors éviter de mettre le moteur en marche. Si vous ne vous en rendez pas compte sur le moment, arrêtez-vous immédiatement au premier bruit anormal et coupez le moteur. Il faudra procéder à une vidange complète.
Photo de Une : site gouvernement.fr