La palette des Transports Bidegain est vaste puisqu’elle travaille avec de nombreuses associations sportives, sociales, culturelles ; elle véhicule aussi des touristes, des habitants et des scolaires.
Une activité freinée par les conséquences de la crise sanitaire, mais Pierre Bidegain veut garder ses collaborateurs mobilisés : « Nous sommes 13 à travailler au sein de l’entreprise. La grande majorité est à temps partiel, mais cela ne nous empêche pas de leur donner accès à toutes nos formations ».
Et des formations, il y en a ! Alcool, fatigue, port de la ceinture de sécurité, gestion du stress, utilisation des extincteurs, évacuation en cas d’incendie, sont autant de sujets traités lors de rencontres dédiées.
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« Le risque routier est le risque premier de notre métier. Il est donc logiquement intégré dans notre Document Unique, et il n’y a pas un jour qui passe sans que l’on soit attentif à cette problématique, à l’écoute de nos collaborateurs en cas de besoin, etc. »
« Nous le rappellerons autant de fois que nécessaire », insiste-t-il. Les Transports Bidegain se sont d’ailleurs déjà orienté vers de nouvelles formations, toujours plus diversifiées, pour ainsi permettre à ses employés d’être près dans à peu près n’importe quelle circonstance.
« Bientôt, nous ferons une formation dédiée à la gestion des conflits, et une autre orientée vers l’éco-conduite. Ce sont des sujets importants en soi, mais qui sont surtout liés à tous les autres. Par exemple, cela sera l’occasion de revoir l’anticipation, la gestion des distances, etc. »
L’entreprise organise, chaque année, avant la rentrée scolaire de septembre, une réunion dans le but de rappeler à ses salariés l’ensemble des risques que comporte la route, et toutes les mesures mises en place par la société.
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« On rappelle que, bien évidemment, le téléphone est à bannir au volant. Tout comme l’alcool. Depuis 2010, tous les véhicules sont équipés d’éthylotests anti-démarrage. C’est la réglementation, mais c’est une très bonne chose », poursuit Pierre Bidegain.
L’entreprise prend également des initiatives supplémentaires pour réduire les risques. « La loi demande à ce que les véhicules soient bridés à 100 km/h. Nous avons décidé d’aller au-delà, en limitant la vitesse à 80km/h pour ceux qui n’ont pas vocation à prendre l’autoroute ».
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