Tout se trouve dans le nom de l’entreprise : FormaTourisme, dédiée à la formation et au secteur du tourisme. « J’accompagne les acteurs de la filière, et plus particulièrement les CHR, dans la formation, sur-mesure, le coaching et le consulting, à travers leurs mutations ».
La dirigeante transmet ainsi son expertise par des formations continues, et se propose comme partenaire privilégiée pour les organismes de formations professionnelles. « La transmission est source de progrès et de succès », continue-t-elle.
Mais ce n’est pas la seule activité de Laurence Monjoie, qui s’avère être un couteau-suisse pour le tourisme. En effet, elle est également administratrice de la Caisse régionale du Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, et présidente de la Caisse locale de la Banque du tourisme sur tout le territoire Pyrénées Gascogne. Une position de choix pour conseiller et accompagner au mieux ses apprenants.
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Située à Bidart, Formatourisme est tout de même amenée à se déplacer. Enfin, était. « Avant la période covid-19, j’étais régulièrement amenée à utiliser mon véhicule pour me déplacer. Depuis quelques mois, la visio-formation a pris le pas sur le présentiel, donc je me déplace beaucoup moins ».
De nombreux déplacements qui augmentent, logiquement, les risques. « J’ai rédigé un Document des risques pour l’entreprise. Il y est préconisé d’être responsable, d’appliquer le code de la route, d’être capable d’organiser ses déplacements pour limiter les risques, etc. Quant à moi, j’ai pris l’habitude de vérifier l’état de mon véhicule, la pression des pneus, et calculais aussi le timing de mes déplacements, en prenant en compte le respect des limitations de vitesse, des pauses repos… Avant la crise sanitaire, l’idée était surtout de privilégier le train ou l’avion, mais aujourd’hui, c’est quasiment impossible ».
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Cette prévention, que s’auto-applique la dirigeante, concerne aussi les organismes qu’elle accompagne. « Je sensibilise au maximum mes apprenants lors de mes formations et interventions en entreprise, que ce soit par rapport à leurs horaires, qui peuvent être décalés, à la consommation d’alcool ou d’autres substances. L’idée est qu’ils fassent preuve d’une grande prudence, autant lors de leurs missions professionnelles que lors des trajets domicile-travail ».
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Car oui, Laurence Monjoie pense tout spécialement aux déplacements avant ou après le travail. « Ce sont souvent des petits trajets accidentogènes. On connaît la route, on a pris ses habitudes, et donc on fait moins attention. C’est d’autant plus piégeux dans les métiers de l’hôtellerie-restauration notamment, avec des horaires de travail souvent décalés et tardifs.. ».
Informations sur le site internet, cliquez ici
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