De nombreuses personnalités sportives, du cinéma ou de la musique se font chacune les porte-paroles d’un geste de sécurité essentiel pour cette campagne baptisée « Mon Conseil Sécurité ».
Ce coup d’envoi a été donné par l’envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la sécurité routière, le 16 janvier dernier à Courbevoie, et par Jean Todt, ancien patron de la Scuderia Ferrari et ancien président de la Fédération internationale de l’automobile.
Ils étaient entourés notamment de la présidente de la Région Île-de-France, Valérie Pécresse, du chef étoilé Yannick Alléno, du codirecteur général de la société JC Decaux, Jean-Charles Decaux, et de la déléguée interministérielle à la Sécurité routière, Florence Guillaume.
Jean Todt parcourt le monde depuis 2023, pour déployer localement cette campagne de l’ONU. 40 pays l’ont déjà répercutée, dont la France ; 40 autres suivront.
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Sur les panneaux d’affichage des mobiliers urbains JCDecaux et sur les réseaux sociaux, de nombreuses personnalités sportives, du cinéma ou de la musique se font les porte-paroles d’un geste de sécurité : « Je ne conduis pas après avoir bu » avec Novak Djokovic, « Je roule lentement » avec Ousmane Dembélé, « Je n’envoie pas de message en conduisant » avec Julie Gayet, « Je boucle toujours ma ceinture de sécurité » avec Charles Leclerc, etc
Il faut savoir que les accidents de la circulation représentent à l’échelle de la planète, la première cause de mortalité des 5-29 ans et que près d’1,2 million de personnes meurent sur la route chaque année dans le monde.
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A cette occasion, un débat a été ouvert avec des lycéens autour des bons comportements à adopter, au quotidien lorsqu’on circule. Une question a été posée sur la faible représentation d’égéries féminines dans cette campagne onusienne.
Ce qui a permis à la déléguée interministérielle à la Sécurité routière d’attirer l’attention de l’auditoire sur le fait que, d’après différentes études, les hommes sont plus enclins à prendre des risques et ils représentent chaque année près de 80% des victimes d’accidents mortels, et plus de 80% des présumés responsables de ces drames.
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