Face au constat que le prix des pièces, et donc celui de la réparation, est plus élevé en France qu’ailleurs en Europe, le premier ministre veut supprimer l’exclusivité de la vente des pièces détachées visibles par les constructeurs, et installer la concurrence.
Des mesures devraient donc être prises dans les prochains mois, pour libéraliser ce marché. Cela pourrait concerner d’abord les phares, les vitres et les rétroviseurs, puis les pièces de carrosserie.
En parallèle, Edouard Philippe compte encourager l’utilisation de pièces de seconde main, en estimant que ces mesures permettraient une baisse comprise « entre 6% et 15% » du coût de ces pièces.
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La Fédération de la distribution automobile soutient cette perspective et demande au Gouvernement d’acter rapidement cette ouverture réelle du marché à la concurrence.
De nombreux opérateurs devraient en profiter, à commencer par des ténors de l’internet comme Amazon.