Le constructeur va créer une nouvelle société, Volkswagen Autonomy (VWAT) dans la Silicon Valley et ultérieurement en Chine, pour regrouper les activités de développement de la voiture autonome, à partir du niveau 4, c’est à dire « hautement autonome ».
Elle pourra rouler sans intervention humaine dans des environnements connus, mais aussi dans des situations urbaines complexes. Le conducteur sera libre d faire ce qu’il veut, tout en restant en position de prendre les commandes en cas de nécessité.
La concurrence est particulièrement vive, même si les concepts programmés dès 2020 ont été retardés en raison de la complexité et du coût de développement.
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De nouveaux opérateurs sont apparus dans ce secteur réservé jusqu’ici aux constructeurs traditionnels. Ainsi, Google, via sa filiale Waymo, s’est positionné avec de très grosses ambitions. Les Américains Apple, Tesla et Uber sont sur les rangs, de même que le Chinois Baidu.
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Parallèlement, pour faire face aux très gros investissements nécessaires pour développer ces technologies, les constructeurs historiques mettent en place des alliances, comme VW et Ford. C’est le cas de Daimler et BMW, mais aussi de Honda et de General Motors.
Affaire à suivre…
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