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La voiture toujours plébiscitée

Le lien affectif qu’entretiennent les Français avec leur « bagnole » reste puissant, malgré des paradoxes

 

Bip&Go, leader de la mobilité autoroutière, a questionné ses abonnés sur leurs habitudes au volant. L’étude fait ressortir aussi des oppositions entre l’usage au quotidien et la transition vers une mobilité plus responsable.

 


La voiture reste pour beaucoup de Français un objet émotionnel. En effet, 36% d’entre eux se remémorent cet achat comme un rêve accompli et 21% y voient une « preuve de leur passage à la vie adulte ». On dénombre même 8% d’entre eux qui considèrent encore leur véhicule comme un véritable membre de la famille. Famille nombreuse donc, puisque plus de la moitié d’entre eux (52%) déclarent détenir au moins 2 véhicules.

Au-delà de l’affectif, on note qu’une majorité (68%) de Français perçoit leur véhicule avant tout comme un outil essentiel à leur quotidien, qu’ils entretiennent avec soin. Le lien émotionnel a laissé place à un rapport plus fonctionnel, où l’usage de la voiture reste incontournable, même face à des coûts d’entretien (53% déclarent ce poste comme l’une des principales préoccupations), de carburant (47%) de plus en plus élevés et face aux difficultés de stationnement (13%). En effet, plus de 8 Français sur 10 possèdent encore un véhicule thermique et 63% l’utilisent presque quotidiennement, que cela soit pour les loisirs (42%), le travail (19%) ou les courses (16%).

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Cependant, bien que la voiture soit omniprésente, pour une petite part des Français (7%) elle est perçue comme une contrainte inévitable, synonyme de stress et de dépenses !

Malgré les appels vers une mobilité plus durable, ils ne sont que 4 sur 10 (42%) à être prêts à modifier leurs habitudes en matière de transport. Mais ces transformations ne sont pas sans conditions : parmi eux, 27% pensent qu’un meilleur accès aux transports en commun serait un vrai plus, 14% se laisseraient tenter par un passage à l’électrique si le prix du carburant grimpait encore, tandis que 13% estiment que des aménagements pour les mobilités douces (pistes cyclables, zones piétonnes) les encouragerait à réduire leur usage de la voiture.

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