Le Groupe Eurélec propose des services dans tous les domaines de l’électricité pour les entreprises, les industriels et les collectivités territoriales. Depuis sa création, l’entreprise a évolué en un groupe, rassemblant plusieurs entités et cinq pôles d’activités.
Depuis le début de l’activité du Groupe Eurélec, la gestion des risques est l’une des priorités des dirigeants. Depuis quelques années, cet axe de travail s’est nettement développé, comme nous l’explique Emmanuel Courret, responsable HSE au sein de l’entreprise.
« Nous avions déjà signé une convention sécurité routière avec le préfet des Pyrénées-Atlantiques. Depuis, nous avons développé d’autres façons de communiquer sur les risques routiers, afin de les réduire. Nous utilisons plusieurs formules ».
La première, qui vient de l’extérieur, c’est la solution télématique proposée par Orange Océan. « Avec des capteurs intégrés, nous sommes en mesure d’évaluer l’attitude de conduite, la consommation, l’impact en matière de rejet de CO2 de chaque véhicule. Une fois par an, nous présentons les évaluations pour chacun, basées sur la conduite agressive ou non, et donc économique ou pas, etc. C’est une approche bon enfant, tout le monde s’amuse, mais derrière il y a un vrai volet pédagogique ».
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Autre mesure jouant sur ce côté ludique, des audits réalisés deux fois par an. « Il y en a deux types. Le premier se fait en ma présence, pour que l’on puisse voir avec l’utilisateur du véhicule ce qui peut être amélioré ou mis en place. Le second, le conducteur le fait seul. Cela lui permet de se responsabiliser ».
Ces audits comportent très exactement 37 points, allant de la simple vérification du permis de conduire à des contrôles plus techniques comme le niveau d’huile, le fonctionnement des feux, en passant par des points de sécurité comme la présence d’un extincteur, d’un gilet jaune, etc.
« Nous avons également équipé les 43 véhicules de notre flotte de trousses de secours ». Une démarche qui vient en complément des formations réalisées récemment par le Groupe Eurélec. « En 2021, nous avons formé une douzaine de sauveteurs secouristes au travail. L’année prochaine, nous souhaitons en former à peu près le même nombre ».
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En cas d’accident, le Groupe Eurélec s’attache à analyser toutes les données reçues pour comprendre, éviter un nouvel accident, et surtout sensibiliser les autres collaborateurs. « Il y a la rédaction d’un recueil de données, d’un rapport d’analyse, pour déterminer les actions à mener. Puis en suivant, nous organisons systématiquement une causerie ».
En plus de ces mesures concrètes, Emmanuel Courret propose donc des causeries, avec de nombreuses informations et des conseils plus théoriques, mais tout de même à mettre en pratique. « Par exemple, en cas de missions à plus de 50 km de l’entreprise, nous leur conseillons, voire imposons par moment, des hébergements sur place ».
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Ces causeries concernent donc le risque routier direct, celui que l’on connaît lorsque l’on prend la voiture, mais elles concernent également les risques liés aux travaux sur route ouverte nécessitant la mise en oeuvre de signalisation temporaires de chantier.
« A ce niveau-là, nous souhaitons équiper nos véhicules de feux de recul sonores. Ils produisent un son à 100 dB, simplement en remplaçant l’ampoule de recul d’origine du véhicule. Cela alerte toutes les personnes alentour du mouvement du véhicule ».
Enfin, sont traités au cours de ces causeries, les sujets des trajets domicile-travail, de l’alcool, des stupéfiants, du cumul de la fatigue, etc. Des actions à tous les niveaux donc.
Plus d’informations sur le site internet d’Eurelec