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Le CEFIRC veut être exemplaire

Organisme actif dans les questions de santé et de sécurité au travail, il mobilise aussi ses collaborateurs sur la prévention des risques routiers…

 

Avec cinq personnes régulièrement en déplacement, le CEFIRC couvre une zone d’activité qui s’étend de Bordeaux à Toulouse, voire même de temps en temps ailleurs en France.

 


Installé à Mourenx, au coeur d’un bassin d’industrie chimique, et donc à risque, le CEFIRC se rend disponible pour toutes les entreprises souhaitant réduire drastiquement les dangers qui peuvent peser sur leurs salarié(e)s.

« Nous avons une spécialisation dans la chimie due à notre positionnement, mais nous travaillons aussi bien avec des artisans qu’avec des industries techniques, le secteur du bâtiment, la mécanique, etc. Toutes les entreprises qui comportent des risques importants », explique Hubert Lapeyre, responsable du CEFIRC.

« Nous avons actuellement 3 formateurs, et un quatrième va bientôt nous rejoindre. Ils font partie de notre société, et ne sont donc pas des prestataires. Ils s’impliquent d’autant plus dans leurs missions ».

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Une implication importante pour le dirigeant qui, avec un commercial également sur les routes, veut éviter de faire courir des risques à ses salariés. « C’est notre coeur de métier, donc c’est totalement logique que l’on s’en préoccupe ! On se doit d’être exemplaire. Arriver chez un client pour lui dire comment réduire les risques, en ayant nous-mêmes un véhicule cabossé et des blessures partout serait cocasse… »

Ainsi, le risque routier est logiquement intégré dans le document unique de l’entreprise. « C’est notre risque numéro 1. Le reste du temps, pour caricaturer, nous sommes dans une salle, donc moins soumis au danger ».

La sécurité routière est ainsi abordée régulièrement, généralement en début d’année, pendant une réunion qui rassemble tous les collaborateurs. « Ils sont au courant des risques et des façons de les réduire, mais c’est toujours une bonne chose de faire un petit rappel ».

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En plus, le CEFIRC, membre de l’association Lacq Plus et impliqué dans les démarches MASE, s’est attaché à réaliser un stage de conduite en conditions difficiles. « Il a concerné la dizaine d’employés que nous sommes. J’ai voulu que tout le monde y participe. Car, que l’on roule beaucoup ou peu, les risques sont similaires. Puis, cela nous a permis d’en discuter ensemble, d’échanger et d’approfondir ces problématiques en interne ».

Pour une entreprise qui possède cinq voitures de fonction, parcourant en moyenne 30.000 km par an chacune, ces mesures sont indispensables, « pour la sécurité des salariés, c’est évident, mais aussi et surtout pour la sécurité des autres usagers de la route ! »

Hubert Lapeyre songe à organiser une nouvelle journée pour recycler les connaissances de ses collaborateurs. « Je ne sais pas encore si nous réitererons la même formation ou si nous proposerons quelque chose de différent. L’idée est de permettre à tous de se remettre les risques et les bons gestes en tête ».

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En tout cas, ces bons gestes sont d’ores-et-déjà appliqués par la direction qui, en cas de trajets hors du grand Sud Ouest, n’hésite pas à employer d’autres moyens de transport. « Quand nous devons aller sur Nice, par exemple, nous prenons l’avion. Cela évite de la route, de la fatigue, et ce moyen de transport est bien plus sûr que la voiture ! », conclut Hubert Lapeyre.

Plus d’informations sur le site internet du CEFIRC

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