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Au volant, la vue c’est la vie…

Ce slogan est connu de tous. Mais, un petit rappel ne peut pas faire de mal…

Il faut savoir que 1 million de conducteurs auraient un défaut visuel non ou mal corrigé et bien souvent l’ignorent. En fait, les problèmes de vision s’installent souvent progressivement, sans que l’on en mesure vraiment les conséquences.

 


Au volant, il est indispensable de voir vite pour être capable de réagir instantanément en cas de danger : un piéton qui traverse soudainement, un usager qui fait une manœuvre brutale et imprévue, un obstacle sur la chaussée…

D’où l’importance d’une bonne vue, en plus de la vigilance indispensable lorsqu’on conduit.

Il faut surveiller constamment les espaces qui nous entourent, particulièrement les trottoirs et les intersections.

Bien entendu, évitez de conduire lorsque vous êtes fatigué, car alors vos yeux le sont aussi.

Attention : certains médicaments peuvent fausser la vision, notamment l’appréciation des distances et de la vitesse. Ils sont signalés par trois niveaux de risque, indiqués sur la boîte.

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Un champ de vision large…

 


Le conducteur doit être en mesure de percevoir ce qui se passe autour de lui dans un rayon de 180° environ. Les rétroviseurs permettent au conducteur de compléter son champ visuel vers l’arrière.

Il faut savoir que, plus la vitesse augmente, plus le champ visuel se réduit. À grande vitesse, il se limite à une vision centrale de la route. À 90 km/h, le champ visuel est réduit de moitié car le cerveau ne peut traiter qu’un nombre limité d’informations à la fois.

Attention, aux « angles morts » de chaque côté du véhicule. Il peut cacher une voiture, un deux-roues motorisé, un cycliste, etc. Alors, il ne faut pas oublier de tourner la tête pour effectuer un rapide contrôle visuel lors d’un changement de direction ou d’une insertion dans la circulation.

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Voir bien pour anticiper…

 


Sur la route, il est nécessaire de regarder loin devant vous pour réagir à temps. En ville, vous devez, au minimum, couvrir du regard le pâté de maisons dans lequel vous vous trouvez et déchiffrer le nom des rues ou les indications des panneaux suffisamment tôt pour anticiper tout changement d’itinéraire.

Parallèlement, pour lire les informations du tableau de bord et les nouveaux systèmes d’aide à la conduite, il faut posséder une capacité d’accommodation suffisante pour passer sans difficulté de la vision de loin à la vision intermédiaire et à la vision de près.

La nuit, la vision des contrastes et des couleurs s’atténue et l’appréciation du relief est perturbée. On a donc tendance à sous-estimer les distances. De plus, les phares ne projetant qu’un étroit faisceau de lumière sur une distance de 100 m environ, le champ visuel s’en trouve réduit. Soyez donc vigilant et adaptez votre vitesse.

Il es indispensable, également, de respecter les autres usagers en évitant de les éblouir. Bien entendu, n’utilisez vos feux de route (« pleins phares ») que si vous êtes seul sur la route. Sachez qu’avec l’âge, la récupération des fonctions visuelles après un éblouissement se fait de plus en plus lentement.

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Soignez la visibilité…

 


N’oubliez pas de nettoyer régulièrement le pare-brise, les vitres et les rétroviseurs. C’est la précaution élémentaire, trop souvent négligée.

Vérifiez régulièrement l’efficacité des essuie-glaces ainsi que la réserve de liquide lave-glace. Ne laissez pas d’objets encombrants pouvant gêner la visibilité.

Enfin, assurez-vous que les phares et les feux de votre véhicule fonctionnent correctement et qu’ils sont propres.

Informations et conseils de la Sécurité Routière.

 

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