Le site de Pau de Soprema Entreprises couvre les Pyrénées-Atlantiques, mais aussi les Landes et les Hautes-Pyrénées. Une vaste zone qu’une majorité de collaborateurs arpente chaque jour, grâce à autant de véhicules.
« Nous sommes une quarantaine de salariés dans l’entreprise. Parmi nous, je dirais que 30 à 35 sont amenés à se déplacer régulièrement pour se rendre sur nos différents chantiers », explique Céline Babin, directrice de l’agence.
Depuis dix ans, cette femme a fait de la prévention des risques sa priorité. « C’est vrai que les actions concrètes liées à la sécurité routière sont récentes pour nous, mais depuis toujours, on se charge de rappeler régulièrement les bonnes mesures à suivre. C’est une question de logique. »
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« Tous les ans, nous avons une réunion d’information pendant laquelle nous rappelons les risques du métier, et les ceux qui en découlent. La route en fait bien évidemment partie, et on se charge de faire des rappels réguliers à ce niveau, sur de nombreux points »
Ainsi, la vitesse, l’alcool, le téléphone, les distances de sécurité… sont autant de sujets abordés au sein de l’entreprise.
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A l’avenir, Soprema Entreprise vise un renforcement de ses actions de prévention, en collaboration avec des organismes spécialisés, capables d’apporter de nombreuses informations utiles aux salariés.
« Tout ce que l’on apprend lors de ces activités est positif, et utilisable tout le temps sur la route. Que ce soit pour une mission, pour aller au travail, pour rentrer chez soi, ou pour des déplacements privés, les conseils prodigués s’appliquent à chaque instant », développe la directrice, qui compare cela aux questions d’hygiène.
« Chez soi, si l’on veut vivre dans un endroit propre, on ne va pas jeter nos ordures par terre. En entreprise, c’est la même chose. On doit respecter les règles et les bonnes pratiques partout. Evidemment, sur la route, c’est également le cas ».
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Bien que Soprema Entreprise n’en soit qu’au début de sa démarche pour sensibiliser concrètement sur les risques routiers, c’est un sujet qui tient à coeur à Céline Babin. « J’ai envie de poursuivre vers des formations liées à l’éco-conduite, par exemple. Mais pour le moment, on fait les choses dans l’ordre. C’est un véritable désir de notre part, que nous allons mener à bien, avec le temps », conclut-elle.
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